Castration du Chat :
Pourquoi castrer mon chat ?
- De limiter géographiquement son territoire s’il peut avoir accès à l’extérieur ;
- De ne pas le tenter de sortir (si femelles en chaleur par exemple) si l’accès à l’extérieur lui est impossible ou interdit ;
- De moins se bagarrer pour protéger son territoire et donc moins de risque d’être infecté des virus du SIDA (FIV) ou de la leucose féline (FeLV) qui sont des virus transmis par griffades/morsures et qui détruisent les défenses immunitaires de votre chat ;
- De ne pas se reproduire et donc être infecté ou transmettre une maladie vénérienne telle que l’herpès virose, mais aussi le sida ou la leucose.
Stérilisation chatte :
Pourquoi stériliser ma chatte ?
- De limiter considérablement le risque de tumeurs mammaires puisqu’un grand nombre de ces tumeurs sont hormonodépendantes ;
- D’éviter une infection ou une tumeur utérine ;
- D’éviter qu’elle se reproduise (portée non désirée) et donc qu’elle soit infectée ou transmette une maladie vénérienne telle que l’herpès virose, mais aussi le sida ou la leucose ;
- De limiter géographiquement son territoire si elle peut avoir accès à l’extérieur ;
- De ne pas le tenter de sortir (si femelles en chaleur par exemple) si l’accès à l’extérieur lui est impossible ou interdit ;
- de moins se bagarrer pour protéger son territoire et donc moins de risque d’être infecté des virus du SIDA (FIV) ou de la leucose féline (FeLV) qui sont des virus transmis par griffades/morsures et qui détruisent les défenses immunitaires de votre chat
Castration du chien :
Pourquoi castrer mon chien ?
- D’éviter 100% des tumeurs testiculaires ;
- D’éviter 100% des affections prostatiques ;
- De faciliter l’éducation de votre jeune chien mâle (dominance, marquages) ;
- D’éviter les fugues lorsque des chiennes en chaleur se trouveraient dans le voisinage.
Stérilisation d’une chienne :
Pourquoi stériliser ma chienne ?
- De limiter considérablement le risque de tumeurs mammaires puisque chez la chienne, 50% de ces tumeurs sont hormonodépendantes ;
- D’éviter une infection ou une tumeur utérine ;
- D’éviter les périodes de chaleurs qui vont de 10 à 21 jours selon les chiennes
- D’éviter les fugues et ainsi une gestation non désirée.
Vaccins chat :
Contre quoi vaccine-t-on mon chat ?
Le Typhus (ou Panleucopénie féline)
Le Coryza contagieux félin
La Leucose féline
La Rage
La PIF
Le FIV (ou Sida du chat)
Parasites externes :
LA PUCE
Une femelle pond 50 œufs par jour pendant plus de 100 jours : ces œufs tombent sur le sol, aux endroits fréquentés par les animaux (fentes de parquets, moquette, coussins, panier, …). L’infestation est majoritaire d’avril à octobre mais reste présente toute l’année, même en hiver. Les puces sont nuisibles pour les chiens et les chats : leur salive peut provoquer une réaction allergique accompagnée de grattage violent.
Elles peuvent de plus transmettre un parasite intestinal : le Dipylidium. Occasionnellement les puces peuvent piquer l’homme.
A RETENIR :
2. En brossant l’animal sur une alaise blanche à rebrousse-poils, on observe des petits amas noirs qui tombent dans le cas où votre animal est infesté par des puces. Ce sont des excréments de puces contenant du sang digéré.
3. Sources de contamination : extérieur, canapés, autres animaux, lieu de couchage.
LA TIQUE
Les tiques peuvent être vectrices de maladies dont la piroplasmose (qui peut être mortelle chez l’animal) ou la maladie de Lyme chez l’homme.
La tique effectue son repas de sang sur le chien ou le chat puis tombe après quelques jours. La ponte et le reste du cycle se déroulent dans l’environnement.
A RETENIR :
Parasites Internes
Ascaris
Ankylostome
Dipylidium
Pourquoi vermifuger votre animal ?
Pour protéger les animaux, les humains et l’environnement
sont infestés dès la naissance par des ascaris. Ils sont la première cause de malnutrition, de rachitisme et de mortalité chez les jeunes. Leur taille nous permet de les voir dans les selles. Les adultes infestés par des vers sont sujets à des alternances de diarrhée/constipation avec un poil piqué et terne. Les femelles gestantes/allaitantes sont atteintes principalement par les ascaris ; les chats adultes par le Dipylidium ; le chien adulte par des cestodes.
2. Protéger les humains : Certains parasites du chien et du chat se transmettent à l’homme. Les ascaris peuvent par exemple être transmis aux enfants. Les symptômes occasionnés vont des simples troubles digestifs à des conséquences dramatiques. La toxocarose se traduit chez l’enfant par des manifestations allergiques, plus rarement des problèmes cérébraux. Le Dipylidium occasionne des douleurs abdominales, une diarrhée et un prurit anal. L’échinocoque est à l’origine de l’échinococcose, une zoonose mortelle.
Quels animaux sont concernés ?
Quelles sont les sources d’infestation ?
2. Les puces et les poux
3. Le sol
4. L’eau de boisson
5. L’alimentation
6. La gestation : transmission de la mère vers le fœtus
Quand vermifuger ?
1. Chez le jeune :De15joursà2mois:tousles15jours.De2à6mois:touslesmois
2. Chez l’adulte : Après l’âge de 6 mois, 2 à 4 fois par an
3. Chez la femelle gestante : quelques jours avant la saillie puis 15 jours avant et après la mise-bas
A RETENIR
2. Ces vers ne sont pas forcément visibles
3. Les vers présents varient en fonction de l’espèce, de l’âge et du mode de vie de l’animal
4. Quelques caractéristiques du parasitisme intestinal : retards de croissance, troubles
digestifs, troubles de l’appétit, amaigrissement, poil terne, prurit anal (« signe du traineau »)
5. Les vermifuges étant non rémanents, il est indispensable de vermifuger son animal à intervalles
réguliers
6. Traiter tous les animaux du foyer pour optimiser la vermifugation
CONSEILS
2. Vermifugez votre animal quelques jours avant la vaccination
3. Lors de la présence de vers, pensez à associer un traitement anti-puces car ces parasites transmettent des vers (Dipylidium)
4. Idée reçue : l’ingestion d’herbe ne vermifuge en aucun cas
Quelques conseils à l’arrivée du chaton :
pour une cohabitation harmonieuse avec son chaton
L’aire d’alimentation :
Les gamelles
– Respecter le fonctionnement du chat : L’endroit où il mange, considéré comme « propre » par le chat, ne doit pas être placé à côté de la litière. Ils peuvent être dans la même pièce. Séparer également la gamelle du ou des lieux de couchage.
– Autant de gamelles que de chats à la maison. Cela n’empêchera pas qu’ils se les échangent.
L’aire de jeu
– C’est également parce-que le chat a un instinct de chasseur qu’il faut toujours avoir un objet entre la main et votre chat… et éviter que vos mains se transforment en proies.
– Le chaton n’a ni le droit de griffer ni de mordre, même pour jouer.
Pour le réprimander dans ce cas, il ne faut surtout pas taper votre chaton. Par contre, associer le mot « NON » à un spray d’eau (vaporisatur pour les plantes) et arrêter le jeu. Le rôle du spray est de rendre désagréable la griffade ou la morsure par le chaton sans action physique et donc sans agression de votre part.
De même si le chaton s’énerve, arrêter le jeu et le reprendre une fois calmé.
L’aire d’isolement :
Le couchage
– Bien distinguer les lieux du couchage, de la gamelle et de la litière.
– Le couchage doit être un endroit où le chat se saura tranquille et où personne ne viendra le perturber.
L’aire d’élimination :
la litière
Par contre, une litière souillée peut favoriser la malpropreté. La fréquence de nettoyage dépendra de votre chat (1 à 2 fois par semaine ou 1 à 2 fois par jour). Pour espacer les nettoyages de la litière tout en respectant votre animal, installez 2 litières.
Son territoire :
Tout changement de son territoire sera donc à anticiper. N’hésitez pas à demander l’aide de votre vétérinaire.
Quelques conseils à l’arrivée du chiot :
pour partir sur de bonnes bases
L’alimentation :
– Il doit manger après ses maîtres
– Ne pas donner à manger à votre chien à table
– A chaque repas, sa gamelle est laissée 1⁄2 heure puis est retirée, même s’il n’a pas mangé ou fini
– Le nombre de repas par jour est diminué progressivement jusqu’à 2 voire 1 repas par jour à partir de l’âge de 6 mois
– L’eau doit être disponible à volonté jour et nuit. Vérifier quotidiennement le remplissage de la gamelle ainsi que la propreté de l’eau.
Le couchage :
– Il ne doit pas être dans un lieu de passage
– Il ne doit pas être proche d’une source de chaleur
– Séparer le lieu de couchage de celui des gamelles (peuvent être tout de même dans la même pièce)
L’éducation de la propreté :
– Le maître mot de l’apprentissage de la propreté : l’anticipation !!! C’est-à-dire, sortez votre chiot après le repas et dans les minutes qui suivent un réveil si possible ; Rester auprès du chiot et le récompenser une fois ses besoins terminés et ne pas rentrer immédiatement après.
– Renforcer les bons comportements du chiot plutôt que de punir les fautes.
L’insertion du chiot dans la famille humaine :
– Les absences : pour éviter toute anxiété lors de votre départ, habituer votre chiot à des absences courtes puis augmentez progressivement leurs durées. Avant une longue absence, ignorez-le 15 minutes avant. Vous ne lui dites pas « au revoir » en partant. A votre retour, ignorez-le jusqu’à ce qu’il se soit calmé. Puis appelez- le et faites lui la fête à votre tour !
– En cas de dégâts commis pendant votre absence, vous n’avez pas le droit de le disputer à votre retour (voir paragraphe « la dispute lors de bêtise »). Nettoyez ou rangez et pensez à autre chose !
Le jeu:
– Dévaloriser l’excitation par l’indifférence (arrêter de jouer)
– Sanctionner le mordillement : Fermer le museau du chien avec une main et associer le geste au mot « NON » ; avec l’autre main, maintenir le chiot par la peau du cou (comme faisait la mère avec ses chiots) pour le maintenir en place. Maintenir jusqu’à ce que le chiot ne couine, ne grogne et/ou ne se débatte plus. -Contrôler le jeu avec les enfants mais ne pas l’interdire. Les enfants ne doivent pas faire mal au chien, mais le chien n’a pas le droit de les mordiller.
La dispute lors de bêtise :
– Ne jamais frapper : ni avec la main ou à l’aide d’un quelconque ustensile !!
– Elle est d’abord verbale par des ordres courts ex. : « pas toucher », « pipi /caca dehors », etc… et doit être associée au geste : le sortir pour les pipis/cacas, retirer l’objet en cas de destruction, etc…
En cas de problème avec votre chiot
Conseils pour votre lapin
Généralités
Espérance de vie
Mode de vie
Reproduction
La stérilisation est fortement recommandée, parlez en avec votre vétérinaire.
Alimentation
Les lapins ont des dents à croissance continue tout au long de leur vie : les incisives, ainsi que toutes les molaires. Il leur faut donc une alimentation riche en fibres afin de les user correctement.
Foin
Comment le choisir ?
Pour que votre lapin consomme une grande quantité de foin, il faut qu’il soit de belle qualité : bien vert, qu’il ait une odeur agréable, des brins larges, et que le paquet ne soit pas trop compacté. Si votre paquet de foin est jaunâtre, qu’il vous est difficile de le sortir du paquet et qu’il ne sent rien, changez ! N’hésitez pas à varier les foins et à proposer différents types de foin chaque jour à votre lapin
Comment le donner ?
Pour éviter qu’il ne le souille et l’utilise en litière, il est préférable de le placer dans un ratelier en hauteur, ou dans une boule à fils de métal.
Il faut que le foin soit toujours à VOLONTE, et bien le changer chaque jour même si tout n’a pas été consommé (il perd rapidement de son parfum)
Verdure
Les salades (sauf la laitue), les herbes aromatiques, les légumes peuvent être donnés quotidiennement. Les fruits et carottes doivent être donnés modérément : un petit morceau une à deux fois par semaine en guise de friandise.
Une liste exhaustive de tous les fruits et légumes comestibles est disponible sur le site internet marguerite et compagnie.
Granulés
Les mélanges de graines sont à proscrire !! En effet, les lapins sont gourmands et trient cette alimentation, ne mangeant que les graines sucrées et grasses, et n’usent pas suffisamment les dents.
Friandises
Attention Carotte !! 1 rondelle 1-2 fois par semaine maxi.
A proscrire
Environnement
Cage
Litière
Prévention
Vaccination
Déparasitage
Stérilisation
Quelques conseils pour partir sur de bonnes bases avec votre cochon d’inde
L’alimentation :
la base de sa santé
– Des légumes doivent également être proposés chaque jour, environ 150g par jour. Il faut les introduire très progressivement pour éviter les diarrhées. Les salades (sauf la laitue), herbes aromatiques fraiches, verdure du jardin (pissenlit, trèfle, feuilles de framboisier…). Attention aux fruits ou aux légumes riches comme les carottes, qui doivent être donnés en quantité modérée (une à deux rondelles par jour).
– Des granulés : proscrire les mélanges de graines qui ont tendance à être triés et sont trop riches, préférer des croquettes extrudées pour cochon d’inde, et donner une quantité modérée : une cuillère à soupe par kg matin et soir.
INTERDIT :
L’aire de jeux :
La cavy cage permet d’avoir un espace modulable et spacieux, facile d’entretien.
Le fond de cage doit être garni pour que celle-ci soit plus confortable, différentes solutions sont possibles :
La santé : prévenir plutôt que guérir
Un bilan de santé annuel est vivement recommandé afin de réaliser un examen clinique complet et de déceler d’éventuelles anomalies malgré un bon état de santé apparent. Il permet également d’assurer une bonne hygiène (vérification du poids, de l’état des molaires, coupe des griffes, nettoyage des oreilles si besoin, etc…)
Une baisse d’appétit ou un arrêt de transit peuvent être graves et doivent amener à consulter rapidement votre vétérinaire.
Parasites : des traitements antiparasitaires externes et internes réguliers sont conseillés : parlez-en à votre vétérinaire !